Votre documentation

 

Les guides et dépliants

Démarches (formulaires)

Les documents officiels

Les publications

Les chiffres clés

Retour en page d'accueil

Partager

Le fumeux rapport IGAS sur la CARMF

Bien que le rapport porte sur les années 2006-2011, on nous reproche d’avoir des fonds contractuels. Ce n’est qu’en août 2011 qu’une législation les a interdits n’obligeant pas à liquider ceux acquis avant cette date.

L’IGAS critique notre répartition actions / obligations parfaitement conforme, en tentant de nous faire croire que des obligations convertibles sont des actions.

L’IGAS critique le fait qu’une même action peut se retrouver dans plusieurs fonds différents (si tout le monde en prend, c’est qu’elle doit être bonne), tout en reconnaissant que le plafond légal par titre de 5 % du portefeuille n’est jamais atteint.

L’IGAS critique l’absence de procédure d’appel d’offre pour certains fonds, alors que la loi les en exclut, puis elle laisse planer le doute alors que nous sommes parfaitement en règle.

L’IGAS critique des frais à 4-5 % (affichés) sans savoir qu’en pratique ils sont de 0 %.

L’IGAS critique des dossiers trop documentés demandés par les administrateurs, et nous demande d’en épaissir d’autres totalement inutiles. Ce sont nos méthodes acquises après soixante-dix ans de pratique.

L’IGAS signale que les administrateurs n’ont pas de formation (les syndicats ont traduit incapables), c’est le cas de tous les élus de toutes les caisses sociales, qui s’entourent des compétences requises. Est-ce que la Ministre de la santé a pris des cours de médecine pour pouvoir prendre ses décisions ?

L’IGAS nous reproche de nous contenter de « sortir du portefeuille les fonds dont le rendement a déçu et de faire entrer des fonds dont le rendement apparaît prometteur aux yeux de la caisse » et d’avoir une « politique dictée par les deux maîtres mots de rendement et de diversification ». Nous assumons.

L’IGAS nous reproche de ne pas changer régulièrement de stratégie, de tactique, et même de personnel ! Les contrôleurs sont obnubilés par les plans quinquennaux inscrits dans aucune loi. Vous comprendrez pourquoi nos détracteurs n’ont pu sortir d’exemples précis de mauvaise gestion. Enfin, le premier critère pour juger des placements, c’est la performance. Cette notion n’existe pas à l’IGAS, sans doute parce qu’elle contredirait le reste.

Vous pouvez consulter soixante extraits de ce rapport avec commentaires du Président pour en montrer l’ambiance et les critiques, en cliquant ici .

 

Retour en haut de page

Suivez-nous !

Abonnez-vous à la newsletter :